Premier État insulaire d’Asie de l’Est, baigné par le Pacifique et appelé « pays du soleil levant », le Japon possède de nombreux emblèmes. La grâce des geishas s’accorde avec le sumotori. La cuisine traditionnelle côtoie les nouvelles tendances culinaires. Les symboles abondent pour témoigner du sentiment de fierté des Japonais.
Le sushi
La culture culinaire japonaise provient de l’interaction avec la tradition gastronomique de la Chine voisine. Le repas prend une valeur très importante, qui va au-delà du simple besoin nutritionnel.
Le sushi constitue un symbole de la gastronomie japonaise. Ces spécialités japonaises en livraison par Côté Sushi sont composées de riz aromatisé avec un condiment à base de vinaigre appelé sushi su et de divers ingrédients tels que du poisson cru ou cuit, des moules, des crustacés, des œufs et des légumes, voire de la viande. Traditionnellement, ce plat représente le mets le plus prestigieux et se déguste lors des événements extraordinaires.
Les Geishas
Une geisha symbolise une femme hautement formée dans les arts de la musique, de la danse et du divertissement. Le terme signifie en japonais « personne de l’art ». Les premiers geishas étaient des hommes déguisés en femmes.
Si les geishas sont issues du monde des courtisanes, elles se sont imposées au cours de la période Edo comme appartenant à la classe du spectacle. Elles n’ont jamais été des prostituées (les yûjos). L’accoutrement et le maquillage et les manières d’une geisha représentent le fantasme de la femme parfaite japonaise. Le sexe était en général exclu de son travail.
La formation des futures geishas (Shi Komikos) prend beaucoup de temps. Les geishas constituent des femmes remarquables s’efforçant de promouvoir la riche beauté du Japon ancien.
Le sumo
Les Rikishis (lutteurs de sumo), aux mensurations de titans, sont assimilés à des demi-dieux par la population nippone. Le sumo dispose d’un lien étroit avec le shintoïsme, continuant aujourd’hui d’imprégner tous ses aspects modernes. Les divers rites effectués par les Rikishis avant le combat servent à purifier leur corps, leur esprit et le dohyō (le ring).
Le sumo apparaît déjà dans le Kojiki, le plus ancien texte historique connu du Japon. Il le présente comme un sport pratiqué au tout début par les dieux. Mais un mortel dénommé Sukune se voit attribuer le rôle de son initiateur dans le monde des humains.
Le sumo incarne l’un des socles de la tradition japonaise. Les tournois constituent de grands événements incontournables sur l’île.